Aldi et Dia. Vents contraires en Chine
C’est un départ en bonne et due forme. L’Espagnol Dia, qui cherchait à céder sa filiale chinoise depuis un an, a enfin trouvé preneur. Début avril 2018, il a signé un accord avec l’enseigne d’électronique Suning (filiale d’Alibaba), qui va reprendre 200 magasins de proximité chinois. Présente en Chine depuis 2003, Dia s’est essentiellement concentré sur Shanghai.
En 2017, son CA net a baissé de 0,6 % à € 8,6 milliards, via 7.388 magasins en activité dont la moitié en franchise.
A l’inverse, son rival allemand Aldi envisage d’ouvrir des magasins physiques en Chine, un an après avoir référencé une gamme de produits sur Tmall (vins, snacks, produits biologiques, etc. venus de ses entrepôts australiens). L’enseigne « discount » est en train de